Articles marqués avec ‘liberté de la presse’

Journaliste congolais Patient Ligodi:tabassé sauvagement par des policiers de Kinshasa,le mercredi 15 septembre 2021.

Cette image d’un journaliste congolais de référence Patient Ligodi suite à son passage à tabac par des policiers de Kinshasa des fractions “rwandanisées des extrémistes Kagamistes”. Liberté de la presse toujours menacée.

Cette photo du 15 septembre 2021 qui montre le journaliste Patient Ligodi après avoir été molesté, fait le tour du monde. L’urgence d’un procès télévisé s’impose. L’urgence des réformes dans cette police légitime que certains responsables policiers “balongwa mpe bazonga koteka madesu” (en langue internationale Lingala:”qu’on les licencie et qu’ils redeviennent des commerçants vendeurs des haricots”).

MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO CONDAMNE CES VIOLENCES.

Dans ces enchaînements de violence qui n’est nullement une simple bavure policière, le journaliste Patient Ligodi a été embarqué avec barbarie et piétiné dans ce véhicule policier par des policiers des fractions “rwandanisée par des Kagamistes extrémistes”.
Babeti mopanzi nsango lokola nyama mpe baniati niati ye na basapato na bango ya ba policiers.

PATIENT LIGODI : JETÉ D’UNE VOITURE EN MARCHE.

Notre confrère Patient Ligodi a finalement été jeté d’une voiture policière en marche.
N’est-ce pas un des modes d’emploi pour neutraliser la vie d’un être humain. Wana nini? Ezali ndenge mpe ya koluka muana mboka mopanzi nsango Patient Ligodi akata molimo?

VIOLENCE.

Rien ne justifie l’usage de la violence de ces policiers de Kinshasa. MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO apporte son soutien total à notre collègue journaliste Patient Ligodi et tous les autres journalistes congolais brutalisés par ces policiers de Kinshasa. Certains journalistes ont été victimes des vols de leurs téléphones portables et outils de travail lors de cette manifestation politique du 15 septembre 2021, organisée par le mouvement politique Lamuka. Pour ces vols, certains congolais accusent des policiers d’être les auteurs comme ces Congolais le disent en live dans des images filmées pendant cette manifestation.

Patient Ligodi, journaliste. Photo d’archives: il est face à face avec des étudiants de
l’université de Kinshasa, UPN. Sujet: le journalisme en RDC.

Lilo Miango/Rédaction de Paris.

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Retour sur l’état de la liberté de la presse dans des médias congolais RDC, de l’Europe,durant l’année 2020 et identité des journalistes congolais basés dans quelques pays européens.

Janvier 2020-Décembre 2020. La liberté de la presse s’est-elle mieux portée dans la diaspora congolaise de la RDC de l’Europe? « Bonsomi ya bapanzi nsango ya ekolo Kongo, awa na mikili ya mpoto, o ntei ya misala mia bango elekaki boni na mobu 2020? ».

Un éclairage sur cette photo prise le 11 janvier 2015 dans le quartier de la Place de la République lors de la Marche internationale très médiatisée pour dénoncer les terrorismes contre les assassinats des journalistes du média français “Charlie Hebdo”. Cette photo montre un homme politique congolais patriote de la RDC qui a délivré ce message marqué sur cette affiche au monde entier. Cette image avait été vue dans une centaine de pays à travers le monde et plus de 400 caméras d’une centaine de stations de télévision du monde. Et j’étais dans la foule très compacte sur cette place à Paris. Et j’avais fait mon tout premier un reportage de cette dimension planétaire en direct pour une émission de la 1ère radio internationale du monde Voix de la Russie/Radio Sputnik. Et au studio à Moscou, c’était mon confrère russe Igor Yazon, excellent journaliste charismatique qui me posait des questions sur le déroulement de cette manifestation inédite. J’avais fait passer aussi des Français interviewés sur les antennes de cette grande radio publique de la Russie, une des grandes puissances de la Terre.

Pourquoi parlons-nous de cette photo de 2015 dans ce créneau de la liberté de la presse concernant des journalistes congolais de l’Europe en l’année 2020? C’est parce que cette photo représente à la fois un symbole et un moteur de l’interrogation récurrente et légitime pour notre liberté de la presse des journalistes congolais de l’Europe en 2020 au MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO. Notre questionnement continue sur les suites judiciaires des journalistes congolais assassinés en République DC dès 2001 avec l’avènement du pouvoir josephiste de Joseph “Kabila” du Tutsi Power Rwandais. Jadis monsieur Joseph “Kabila” Hippolyte Kanambe a été à une époque à Kinshasa, ce colonel-aide de camp du général rwandais suprémaciste criminel James Kabarebe. Il y a une relation de cause à effet, selon une source panafricaine. D’où ceci interpelle la liberté de la presse chez nos journalistes congolais de l’Europe, y compris dans cet essai consacré pour l’année 2020. “Likambo wana ya biboma boma ya bapanzi nsango ekopola te, oebandeli ya mobu 2020 ti na suka 2020”

Cette interrogation récurrente de nos journalistes Kamite est illustrée par notre MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO à travers cette photo prise à Paris le 11 janvier 2015. Baninga ya mosala ya bapanzi nsango baboma bango. Ndenge elili mozali kolakisa. Bazuzi bokata makambo yango ndenge kani?

Ebène Magazine est le plus ancien média de la diaspora RDC en activité.

Identité de journalistes et un tableau de bord des médias congolais dans des pays européens.

Durant toute l’année 2020, dans les observations des journalistes Kamite panafricains congolais du média international MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO, ont axés des regards sur la liberté de la presse dans ces médias congolais de l’Europe, qui sont les références et qui ont assumé cette liberté de la presse, leur liberté de la presse: Afrika Jamaa (responsable de ce programme radio : journaliste historique Pat Patoma, à Radio Air Libre 87.7FM,Bruxelles), Ebène Magazine (le média le plus ancien dans la diaspora de la RDC/Journaliste historique Bazakana Bayete), Yambola (responsable : journaliste Jean Boole Ekumbaki), Mayizo com (émission télévisé l’Analyse ; journaliste-présentateur Kerwin Mayizo), Congoindépendant, Magazine Ngambo Na Ngambo (fait par des journalistes Kamite panafricains congolais de la RDC en Suisse, Allemagne et France), CheikFita-info en ligne des Congolais de Belgique, Réveil FM international (responsable : journaliste Freddy Mulongo), Afrik en action, Afriwaves (responsable journaliste Roger Diku, ex-étudiant en journalisme faculté universitaire Isti), Afronews (responsable Kapampy Mbuyi Blaise), Mosakoli(Journaliste Nila Mbungu), Télé Tshangu (responsable: journaliste-présentateur-producteur Fabien Kusuanika), Radio MNG /Mangembo 99.7 FM(Melun), Le Potentiel (représentation en France: journaliste Robert Kongo, doctorat en journalisme en France), RTNC(représentation en Europe basée en Suisse) et le magazine télévisé “dernier Virage” (responsable: Alimia Mongala).

Malgré des déferlantes vagues des réseaux sociaux (ne pas confondre réseaux sociaux avec les médias des journalistes comme les lois et les fiscalités en matières de la presse légifèrent le monde des médias partout dans le monde), cette liberté de la presse des journalistes congolais RDC de l’Europe est expressive dans les traitements des actualités et informations congolaises ou des autres pays.

Journalistes auto proclamés en violation des lois comme celle de la France et en violation des droits de l’homme (ONU).

Chacun de ces médias congolais possède sa ligne éditoriale, avec ou sans un “back ground” des connaissances historiques-sociologiques-économiques avérés du Congo vu que ces médias sont appelés à donner des informations ou des actualités pour les populations congolaises qui sont dans le peuple congolais unis.

Ces médias congolais intéressent aussi certaines tranches des autres publics étrangers très variés de notre planète qui s’intéressent à la République Démocratique du Congo (nos sources se basent sur les dires d’un espion américain, fonctionnaire USA que deux journalistes congolais de France connaissent).

Régulièrement, les langues utilisées sont le français et le Lingala, deux langues totalement opposées par leurs histoires mais qui se revendiquent être des langues dans la liberté d’expression de beaucoup de journalistes.

En France, un pays des journalistes qui est une nation des lois, le statut de journaliste professionnel est garanti par la loi Brachard et la loi Cressard, votées à l’unanimité en 1935 puis en 1974. Il vise à protéger d’une part les sources d’information des journalistes et d’autre part leurs publics contre les risques d’amateurisme ou d’atteintes à la déontologie.

Lilo Miango/Rédaction de Paris et Nkumu/Rédaction de Suisse.

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