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104 ans de la bataille d’Oihole (Angola/6 février 1917-6 février 2021), contre les tueurs occupants portugais: roi Mandume,résistant et grand patriote Africain

Le MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO lance un appel à l’occasion des 104 ans de la bataille qui avait eu lieu à OIHOLE, en Angola contre ces envahisseurs portugais, des barbares ayant une cruauté comparable à des Nazis allemands de la guerre de 1940-45. Ces Portugais-là, colonialistes haineux contre les Noirs, avaient été responsables des crimes contre l’humanité et grands criminels de guerre sur ces terres africaines ancestrales d’Oihole.

C’est à partir de ces trois pays (Suisse, France, Allemagne) que notre média panafricain fait par des journalistes Kamite panafricains congolais de la RDC, en Europe; vient de lancer cet appel. Notre rédaction centrale est à la recherche d’une Angolaise patriote qui connaît bien l’histoire de cette bataille d’Oihole.
“Bitumba bileka na Oihole, ezali masolo ya bikolo… ya Afrika mokili mobimba. “Afrika mokili mobimba”, nous traduisons ces mots Lingala par “panafricanisme=Afrika mokili mobimba”.

Drapeau angolais

Sa majesté MANDUME, le DERNIER ROI de Cuanhama (Angola).

Ce souverain s’est battu. Et son combat patriotique des êtres humains justes triomphera toujours. Il est comme l’eau de la rivière Kunene (Cunene, province du Sud en Angola). Il est “Nfumu” (“sa majesté le Roi”) MANDUME, grand Africain et résistant anti colonisation européenne de ces occupants Portugais envahisseurs criminels issus de ces élites portugaises colonialistes prétendues civilisées.

“KO…NGO/Têtes couronnées” est l’intitulé de notre rubrique du MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO consacrée à des familles royales, impériales, princières africaines.

Cette rubrique vous ouvre les portes de l’Histoire de notre Afrique notamment par des changements de langage, de mentalités pour ces Noirs qui se détestent eux-mêmes, qui détestent les autres Noirs, qui détestent les valeurs des peuples noirs grâce à qui l’Humanité existe sur cette Terre.

Cette rubrique est une façon de lutter contre cette aliénation mentale qui a embarqué des gens des peuples noirs, y compris des journalistes de la diaspora africaine et nos confrères dans un certain nombre de pays africains.
Il y a des nouveaux courants de ces années 2000, de nouvelles mentalités avec des générations différentes, adultes et jeunes pour lutter contre cette aliénation. C’est dans cette conjoncture que nos journalistes congolais ont entendu parler de sa majesté le roi Mandume ya Ndemufayo ( avec son gouvernement royal et démocratique).

Le roi avait dignement, légalement et légitimement défendu les terres africaines de Kunene (Cunene) et les humains de ces terres 100 % africaines, donc la propriété ancestrale et incontestable appartient à ces peuples noirs de l’Afrique. Nous allons nous focaliser sur la bataille de Oihole du 6 février 1917. Ainsi son courage dans ces combats a fait que son exemple coule comme les eaux de la rivière Kunene (Voir photo). Et l’eau étant un symbole de l’éternité “ya kibonkoko na biso batu ya Afrika.” MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO plongera sa plume dans cette eau pour raviver la flamme de cette bataille historique.

Ebale ya Kunene, Kunene river, rivière Kunene (Cunene).

Bataille d’Oihole: durant la 1ère guerre mondiale entre deux camps des Européens.

Le Portugal était dans le camp de ces Européens qui se battaient pour leur liberté et souveraineté contre l’autre camp des Européens (Allemands…). Et cette bataille à Oihole, en Angola, s’est passée pendant l’effectivité de cette 1ère guerre mondiale voulue uniquement par des élites européennes. Et les officiels portugais se battaient contre les autres Européens “présentés comme des gens barbares qui ont voulu supprimer la liberté et s’accaparer des terres des autres humains par la violence des armes dans cette 1ère guerre mondiale”. Et ces mêmes officiels portugais exterminent des Noirs Africains en Angola qui tenaient à leur liberté et leurs terres 100% africaines.

Alors comment une personne normale peut expliquer que ces Portugais-là, des sans papiers et sans visas quittent leur Portugal et aller tuer des enfants, femmes et hommes africains qui étaient chez eux sur les terres de leurs ancêtres. C’est du terrorisme international que l’Etat actuel du Portugal et ses alliés mercenaires européens doivent assumer. “Balinga, balinga te”. Ces nouvelles mentalités dans les rangs des activistes, des combattants, des résistants dans notre diaspora africaine en Europe, c’est aussi un travail des Congolaises et Congolais de RCK du président Martin Sali, un citoyen congolais très médiatique. Et ainsi émergent ces faits historiques sur le roi Mandume, ses combats patriotiques et les leçons de la bataille d’Oihole, dans le sud de l’Angola.

Lilo Miango/Rédaction de Paris.

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