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MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO met en lumière les rôles et effets des combattants armés angolais sur la révolution des œillets du 25 avril au Portugal.

Drapeau angolais/Bendele ya Angola

25 AVRIL 1974-25 AVRIL 2022: 48 ANS de la célébration de la Révolution des œillets. En ce 25 avril, quel est ce parti politique angolais qui a célébré ces combattants angolais ? Y a-t-il eu des associations angolaises en Europe qui ont rendu hommage à ces braves combattants armés angolais? “Na Magazine Ngambo Na Ngambo, toluki, toyoki ata nsango ya milulu ya ndenge wana te”.

En tant que journalistes Kamite panafricains congolais de la République Démocratique du Congo et vu cette occasion des 48 ans de la Révolution des œillets au Portugal, notre média s’est engagé à célébrer à la “ingeta” les luttes armées des Combattants armés angolaises et angolais de tous les bords. En effet, ils ont réussi à créer des séismes depuis les terres de leurs braves ancêtres en Angola. Et ces séismes réussissent à créer des séismes au Portugal. Cela a contribué avec des synergies à faire ce 25 avril 1974.

Soldats portugais avec ces fleurs rouges nommés «oeillets».

“Na bitumba ya makasi mpo na kolonga satana-zabolo ya ba colonialistes ya nzinga nzinga ya moto ya mabe Salazar”, ces années-là les vaillants combattants armés angolais avaient infligé tellement des défaites meurtrières aux militaires portugais.

Et comme chaque jour, chaque semaine, il y avait trop de deuils dans des familles blanches portugaises : des soldats portugais tués dans des attaques armées de la lutte pour la libération de ces terres africaines. Vu des montagnes de cadavres de leurs enfants et adultes soldats portugais abattus, ces familles portugais ont craqué. Et des officiers et soldats portugais ont aussi craqué.
Malgré des aides financières et fournitures des armes par l’OTAN en faveur des grands criminels colonialistes portugais pour massacrer des peuples noirs colonisés qui étaient sous occupation portugaise et alliés occidentales dans ces “colonies portugaises”, tout était perdu pour ces massacreurs militaires, financiers occidentaux suprémacistes et racistes blancs.
N’eut-été l’intensité historique très élevée des combats de ces luttes armées pour la libération des terres et dignités ancestrales africaines des peuples noirs en Angola, Guinée-Bissau, du Mozambique, à Sao-Tomé et Principe, au Cap-Vert ; il n ‘y aurait pas eu des révoltes des soldats et officiers portugais. Ces luttes de libération ont contribué aussi à la Révolution des œillets nommée aussi la Révolution du 25 avril 1974 au Portugal: “ba Portugais wana bazuaki biloko ya moto. Minduki ya ba Angolais bikomaki na lokito mosusu”. UNE MOBILISATION FINALEMENT VICTORIEUSE.

De gauche à droite: Holden Roberto, Jomo Kenyatta, Agostino Neto et Jonas Savimbi.

Cet article est aussi un hommage aux autres mouvements africains de lutte sous la dictature criminelle. Cette dictature du Portugais Salazar était nourrie et soutenue par des applications strictes du fanatisme religieux chrétien catholique. Voilà une réalité de ce régime grand criminel de guerre et responsable des crimes contre l’humanité du célibataire et grand criminel européen António de Oliveira Salazar (1889-1970).

Bendele ya ekolo Portugal/Drapeau du Portugal.

Un hommage au rôle qu’ils avaient contribué dans le renversement du régime au cours de la Révolution des Œillets de 1974.

L’une des pires dictatures de l’histoire de l’humanité nommée “L’État nouveau” s’est étendu de 1933 à 1974, et, pendant ces 40 ans, les combattants angolais et des panafricains ont intensifié des luttes armées avec des armes qui avaient été très performantes pour contribuer à faire fondre ce régime qui a sur ses mains ensanglantées, avait arrachés des vies des divers peuples noirs africains.

Lilo Miango/Rédaction de Paris.

Photo en noir et blanc: Holden Roberto, Jomo Kenyatta, Agostino Neto et Jonas Savimbi.
Photo N°2: soldats portugais lors de la Révolution des œillets, 25 avril 1974, au Portugal.