73 ans de la bombe atomique à Hiroshima: noms de coupables belges, pilleurs et receleurs d’uranium du Congo.

En ce jour terrible de la commémoration du largage de la 1ère bombe atomique par des officiels USA sur la ville japonaise d’Hiroshima (6 août 1945-6 août 2018), le MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO fait remonter deux noms de ces Belges pilleurs-receleurs de l’uranium de Shinkolobwe. Cet endroit ne se trouve pas géographiquement en Belgique. C’est bel et bien sur des terres des Noirs africains qui avaient été occupées en ces temps-là par ces terribles immigrés clandestins belges violents et violeurs des droits des peuples autochtones et propriétaires de Shinkolobwe, Les Bayeke, Ba Sanga, Ba Bembe n’étaient jamais partis en Belgique comme immigrés clandestins, criminels et violents pour occuper et coloniser un coin de ces terres européennes et belges. Notre média panafricain de l’Europe le réitère pour que cette poignée précise de ces individus congolais dits “intellectuels gonflés par des diplômes universitaires” ne repartent plus en mission d’aliénation contre la diaspora de la RDC en Europe ou le peuple de l’actuelle République Démocratique du Congo. Aucun Congolais n’a de responsabilités avec ces bombes atomiques comme le sont ces Américains, Belges Wallons ou Flamands et Britanniques.

Ces coupables et receleurs belges: Baudouin de Borchgrave, Edgar Sengier et leurs réseaux occidentaux.

Baudouin de Borchgrave d’Altena, né à Bruxelles est un homme présenté comme un résistant belge, un comte, lieutenant colonel et chef du renseignement militaire de la Belgique pour le gouvernement en exil pendant la Seconde Guerre mondiale. Baudouin de Borchgrave avait appris que des officiels américains (USA) manquent cruellement d’uranium pendant cette deuxième guerre. Comme un malin, il savait que le sous-sol des Noirs du Congo, hélas sous la colonisation belge, est riche du métal précieux.

A partir des mines de la région du Katanga, il rassemble une importante quantité d’uranium et l’expédie par bateau aux États-Unis. C’est un trafic a été un acte extraordinaire que l’État des USA n’est pas près d’oublier. Quand il sera nommé plus tard attaché belge à la défense à l’ambassade du Royaume de Belgique à Washington, il s’était vu remettre par le président Trubman la médaille américaine de l’Ordre du mérite.

Son fils Arnaud de Borchgrave, journaliste connu, a fait faire ce descriptif de cet exploit à la page 33 du magazine “Grande Famille”. Le MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO a un exemplaire dans ses archives. Et l’auteur de cet article n’avait mis que ces initiales de H. DE R. L’article est intitulé “Famille de Borchgrave entre l’héroïsme et l’aventure”.

L’autre individu belge est natif de la ville belge de Courtrai. Il se nomme Edgar Sengier. Il décédera en Cannes (France) le 26 juillet 1963.

En ce temps-là où a eu lieu cette affaire de bien mal acquis avec cet uranium ” ya ekolo KO et NGO”, il était à la fois une “balance” (en argot Lingala, les Kinois disent “céfé”), directeur de la Société Générale de Belgique et directeur de l’Union Minière du Haut Katanga (UMHK) durant la Seconde Guerre mondiale. Avec ce trafic-recel dont ce Wallon-Belge Sengier a été très actif, des officiels américains purent aisément disposer de l’uranium nécessaire au projet Manhattan.

Monsieur Edgard Sengier fut alors le premier civil non américain à être décoré de la Médaille du mérite du gouvernement des États-Unis d’Amérique, remise par le général américain Groves. Cette cérémonie se déroula en 1946 et dire que cette distinction est l’oeuvre d’une décision présidentielle datée de 1945. Quelle célérité pour distinguer ces Wallons-Belges trafiquants qui firent entrer beaucoup d’argent américain dans la caisse du Royaume de Belgique. La royauté belge n’en savait-elle rien sur ce gros trafic?

Uranium : des milliers de victimes congolaises oubliées et méprisées jusqu’aujourd’hui.

Et ce processus de trafic a fait des victimes noires du Congo: des irradiés, des décès des travailleurs noirs ou familles noires des mines de Shinkolobwe. Que dire de cette propagande religieuse de ce clergé de la colonisation belge qui a embrouillé des gens avec des histoires des “Ndoki ” (sorciers qui mangeaient ces victimes noires du Kongo, travailleur ou famille de Shinkolobwe ). C’était vraiment du racisme, des mensonges de la part de ces prêtres belges barbus.

Voilà cette affaire des gros sous et des victimes de l’uranium du Katanga demeure un des volets du contentieux belgo-congolais à résoudre tôt ou tard, avec ces nouvelles générations congolaise ingeta” et belge wallonne, flamande, allemande et naturalisée.

Lilo Miango/Rédaction de Paris.