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Affaire major de la police Rémy Kanza et policiers du quartier 1(Ndjili) : diaspora veut leur arrestation à cause des tortures, du vol…

Des policiers l’accusent d’avoir donné des ordres pour torturer.

C’est la question à l’attention des enquêteurs congolais au Congo. Des réseaux de ces policiers concernés de Kinshasa font-ils des rackets contre des investissements des Congolais de la diaspora ? Pourquoi cette violence barbare avec des coups dans des testicules ?
Pourquoi dans la diaspora RDC de Belgique, des Pays-Bas, de France, de Suède, des USA et de l’Allemagne ; des Congolaises et Congolais exigent que la justice militaire de la RDC interpelle le major Remy Kanza alias “mal à l’aise”, chef escadron police Tshangu (Voir photo) et ses policiers, à Kinshasa ?

TERREUR, VOL ET TORTURES PHYSIQUES : ABUS DE POUVOIR DE LA PART DES MEMBRES BARBARES DE LA POLICE A KINSHASA.

Parmi la centaine de messages arrivés du 14 juin 2021 au 15 juin 2021 à nos rédactions de Genève et Paris, nos journalistes Kamite panafricains congolais ont relevé certains notamment ce que Congolaise Florette, patriote, déclare : “tortures physiques à l’intérieur du commissariat Mbata/Quartier 1 en donnant même des coups dans les testicules de ces innocents arrêtés arbitrairement, vol-racket de l’argent (recettes de la journée), arrestations arbitraires (en réalité ce sont des enlèvements de la part de ces policiers concernés gradés ou pas qui abusent de leurs fonctions officiels, coups et blessures volontaires, vols des téléphones portables, vol de pneu et des outils pour réparer des pannes mécaniques, dénuder des innocents, vol de batterie et de carburant dans un véhicule civil commercial pour mettre dans un véhicule officiel de la police, privation arbitraire et temporaire de la liberté…).

Le véhicule concerné.

L’émission télévisée “L’Europe parle aux Congolais” fera une édition sur cette “problématique de la mise en danger de la part de certains réseaux policiers, au Congo, qui impactent des investissements matérialisés par des Congolaises et Congolais de la diaspora”.

Lilo Miango/Rédaction de Paris et Nkumu/Rédaction Suisse.