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Violences des forces de sécurité congolaises contre des journalistes congolais: ce qui s’est passé ce 23 novembre 2019 à Kinshasa est une violation de la résolution 68/163(ONU).

Baden-Baden et sa région (Allemagne). Paris et sa région (France). Genève et son environnement (Suisse). Nos journalistes Kamite panafricains congolais ont reçu des diverses réactions en provenance de ces cercles d’influence. Tous condamnent ces barbares planifiées de ces forces de sécurité congolaises (policiers de Kinshasa et des éléments armés prétendus “inconnus”) contre des journalistes congolais ciblés. Avec les finances du contribuable congolais et moyens de l’Etat, ces unités ont ciblé ces journalistes “fichés”. Ces actes ciblés de violences policières ont eu lieu dans une commune de la capitale Kinshasa. C’était le samedi 23 novembre 2019 lors d’une manifestation pacifique en soutien au journaliste, devenu député Mike Mukebayi, incarcéré dans le cadre d’un schéma de politique politicienne dans une prise de Kinshasa.

Ce qui s’est passé à Kinshasa, est interdit par l’ONU:

« Lorsque des journalistes sont pris pour cible, c’est la société tout entière qui en paie le prix. Si nous ne parvenons pas à les protéger, il nous sera extrêmement difficile de rester informés et de contribuer à la prise de décisions. Si les journalistes ne peuvent pas faire leur travail en toute sécurité, le monde de demain sera marqué par la confusion et la désinformation », un extrait de prise de position de l’ONU dite par monsieur António Guterres, Secrétaire général des Nations Unies, le 2 novembre 2019.

Un message pour stopper l’impunité qui crée des délits et crimes contre des journalistes en RDC.

Question de l’impunité et sécurité des journalistes congolais, en RDC.

L’Etat de la RDC,membre de l’ONU, s’était engagé pour le respect de cette résolution.L’impunité a déjà entraîné un plus grand nombre d’assassinats. Cette impunité représente souvent un facteur d’aggravation de conflit et d’effondrement de ces systèmes juridique et judiciaire au Congo.

Le Congo était présent en décembre 2013, lors de la 68ème session quand l’Assemblée générale de l’ONU adopta cette résolution intitulée “La sécurité des journalistes et la question de l’impunité ” (A/RES/68/163). Cette résolution avait proclamé à la date du 2 novembre 2013 la Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre des journalistes. Cette résolution a exhorté les États Membres à prendre des mesures précises pour combattre la culture actuelle d’impunité.

Cette résolution historique condamne toutes les attaques et violences perpétrées contre des journalistes et des travailleurs des médias. Elle exhorte également les États Membres dont fit partie la RDC à faire “tout leur possible pour prévenir cette violence, en faire rendre compte, traduire en justice les auteurs des crimes et délits commis contre des journalistes et des travailleurs des médias, et veiller à ce que les victimes disposent de recours appropriés. Elle demande, en outre, aux États de promouvoir un environnement sûr et propice dans lequel les journalistes puissent effectuer leur travail de manière indépendante et sans ingérence indue”.

Toute “l’Europe des officiels” en parle: des journalistes congolais victimes des violences barbares de ces policiers à Kinshasa, le 23 novembre 2019.

Tout est parti de la région de Baden-Baden, Allemagne avec un “Coup de fil du téléphone rouge qui a arrosé tout le monde officiel”.

Mais comment va Mr. Tshisekedi Félix qui “intéresse certaines capitales européennes vu ss services demandés”; avec ces barbaries de ces forces-là de ces institutions du Congo qui ciblent des membres de la presse car ces forces sont indignes dans un Etat de droit comme nous journalistes Kamite congolais, nous voyons ici dans des pays scandinaves ? Et cela malgré ce que le président français avait proclamé à l’Elysée, le 12 novembre 2019!

Des études, réunions,missions ou travaux à confier à l’Institut des Français “Themiis”( institut de haut niveau à la française de coaching des policiers et miliaires) sont-ils déjà en difficulté? “Matoyi minene ya bampanzi nsango ya biso ya MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO mayoki to mayoki malamu te? Kasi nsango epesami na nzela ya mosala tosalaka”.

Le général français Bernard Commins, immense boulot l’attend à Kinshasa dès janvier 2020.

En ce jour, nos journalistes Kamite panafricains congolais du MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO dénoncent ces violences de ces policiers “made aussi by des extrémistes occupants Tutsi suprématistes Rwandais de Joseph Kabila-Paul Kagame” de ces unités de police de Kinshasa.

Ces policiers ou forces de sécurité concernés ont osé attaqué des journalistes auparavant ciblés qui ne faisaient que leur job de noblesse lors de la marche pacifique de soutien au journaliste devenu député Mike Mukebayi, actuellement détenu politique dans un prison de la capitale Kinshasa. C’était le samedi 23 novembre 2019, dans des rues et avenues de la commune de Lingwala.

Lilo Miango/Rédaction de Paris et Nkumu/Rédaction Europe.