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Diego Cao, embouchure du fleuve Congo en 1482 ? : ce grand mensonge doit cesser.

 

C’est notre réponse historique à ces journalistes ou présentateurs congolais et angolais dans ces médias concernés au Congo et en Angola. Le travail dans notre journalisme congolais en Europe est aussi de faire émerger cette réalité et vérité sur cette prétendue et fausse découverte de l’embouchure du fleuve Congo en 1482 par Diego Cao, un faussaire du Portugal que des catégories de élites européennes ont fait entrer dans nos livres d’histoire et dans certaines actualités médiatisées. Sur internet (Web), ce gros mensonge imposé s’y trouve. “Eyano ya talo ya biso bampanzi nsango ya MAGAZINE NGAMBO NA NGAMBO”.

 

 

Vérité. “Bosolo”.

Ce sont des Noirs africains, ces braves êtres humains nés dans leurs droits de l’homme et droits des peuples à disposer d’eux-mêmes qui avaient découvert l’embouchure du fleuve Congo (KO et NGO). Et ce n’est pas du tout le conquérant belliqueux, raciste, extrémiste et criminel portugais Diego Cao.

 

Diego Cao: lokuta monene.

Diego Cao: lokuta monene.

Diego Cao, un “Sans visa d’entrée”, venu illégalement.

Ces Africains Noirs, des êtres humains résidaient là, chez eux. Ce sont leurs terres ancestrales “KO et NGO”. Et cela bien avant l’arrivée sans invitation de cette expédition barbare et guerrière de ce Portugais Diego Cao.

Dans ce grand groupe de Diego Cao, il y avait des Blancs soldats ayant combattus des Arabes pour des raisons qui ne concernaient pas les Noirs africains du KO et NGO. Dans ce lot, on trouvait aussi des fanatiques religieux chrétiens européens et des prostituées européennes. Tous étaient “sans visas comme on dit aujourd’hui”. Ils avaient osé traverser l’océan pour y débarquer ce jour-là de l’année 1482.

Ce fût un défi de ces “immigrés”,” migrants” et conquérants européens habitués à faire des guerres pour piller, tuer, falsifier l’histoire, répandre la corruption et s’accaparer des richesses d’autrui. Il n’y a rien de comparable avec ces actuels “migrants” africains en Méditerranée.

 

Et ces différents gouvernements congolais sans visions.

Ces différents gouvernements congolais ne doivent plus continuer à aliéner des différentes générations des écoliers, étudiants, chercheurs, cinéastes et journalistes congolais. Les programmes de l’histoire ces pays africains doivent cesser définitivement d’honorer ce criminel mythomane, raciste et pilleur portugais nommé Diego (Diogo) Cao.

«. Batu nionso lisanga moko. Tosilisa likambo ya ye Diego Cao. Azali moto wana ya lokuta monene mpo asala misala mabe,suka ya mabe koleka. Esengeli kotangisa mateya ya solo ya bankoko na biso na babuku ya bosolo» (en langue internationale Lingala).

Lilo Miango/Rédaction de Paris et Nkumu/Rédaction centrale-Europe (Suisse).

Illustrations/Bilili: Diego Cao/Drapeaux de la République Démocratique du Congo, de l’Angola et de la République du Congo.

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