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16 février Journée Mondiale contre les crimes en RDC: Kalama contre des extrémistes tutsi rwandais.

Notre reportage dans une campagne française en vue de ce 16 février 2017, « Journée Mondiale contre les crimes en République Démocratique du Congo ». Cette journée a été proclamée par l’UNESCO. Notre déplacement pour réaliser ce reportage (aller-retour) avait duré plus de 4 heures. C’était rencontrer monsieur Kalama Ilunga Jean,une figure dans la Résistance congolaise contre l’occupant au Congo. Il est membre du directoire du Front Civil de Résistance Civile.

L’occasion matérialisée par ce « 16 février contre les crimes en RDC », n’a qu’un cheveu, mais ce Congolais sait le saisir «mpo alinga koleka Congo na batu ya ekolo Congo» (en langue internationale Lingala : « car il porte en lui la patrie Congo et la population congolaise »).

Front Civil de Résistance Populaire avec ces deux contextes.

Ces crimes qui concernent le contexte mondial de l’Unesco dans sa proclamation de cette « Journée Mondiale contre les crimes en RDC », sont des crimes récurrents visant des masses liés et directement avec l’instabilité socio-politique causée par des conflits armés d’agression sur ce territoire africain.

Cette «Journée Mondiale» proclamée par l’UNESCO n’est pas encore connue au sein de la diaspora congolaise qui se bat dignement chaque jour contre ces massacres en RDC. La structure associative de droit belge nommée «Congo Lobbying» et présidée par le Congolais Mitchinini Ngoyi ; travaille déjà pour faire reconnaître “mondialement” ce génocide congolais.

Ainsi, lors de notre reportage, monsieur Kalama du Front Civil de Résistance Populaire nous a dit que leur mouvement des résistants se situe dans le contexte du combat de la diaspora de la RDC en synergie avec la résistance à l’intérieur du Congo. Il reconnait la légitimité de cette proclamation de l’Unesco. Et dans cette interview à l’occasion de ce 16 février Journée Mondiale contre les crimes au Congo, le Front Civil de Résistance Populaire, réitère par la voix de Mr. Kalama que :

« Tous ces massacres des citoyennes et citoyens de l’actuelle République Démocratique du Congo sont déclenchés par des mécanismes des décideurs extrémistes Tutsi du Tutsi Power: “ce soit par le biais des armées ougandaise-rwandaise…, soit par des pseudo-rebellions baptisées congolaises, soit des infiltrations dans l’armée, la police, les services de la RDC (Lire ouvrages du journaliste Charles Onana/Livres du chercheur congolais Patrick Mbeko/Voir le film-documentaire produit par Arte France Canal/Réalisatrice : Jihan El-Tahri/Consulter les faits présentés par des Combattants-Résistants-Patriotes…)… Ces tueurs Tutsi ont trouvé des alliés congolais et un terreau très propice à leur terrorisme à cause de la corruption, des institutions très fragilisées, de l’arrogance d’une poignée des membres de la classe politique de la RDC trop corrompue. Quand, nous Congolaises et Congolais de la diaspora, nous parlons de mettre dehors ce Rwandais, il s’agit de ces catégories de tueurs, des criminels… Dans ce lot de ces tueurs étrangers, on trouve un grand nombre des extrémistes Tutsi Rwandais qui se sont octroyés la nationalité congolaise par la violence des guerres récurrentes en versant le sang des millions de Congolais, depuis 1996-97. Certains de leurs leaders et mercenaires occupent des fonctions stratégiques dans des “institutions” de la RDC ».

Pourquoi n’ont-ils pas suivi les voies légales comme les Manuels Valls, Fleur Pellerin, Pierre Mendes-France, Felix Bokassia, Carlos Da Silva (France), Elio di Ruppo, Bertin Mampaka, Gisèle Mandaila (Belgique), Sadiq Khan (maire de Londres/Grande-Bretagne), Michaëlle Jean (Canada), Arnold Schwarzenegger (USA), Cécile Kyenge (Italie) devenus légalement des responsables (sans commettre des massacres contre les populations françaises, italiennes, britanniques, canadiennes, américaines et belges et sans agresser militairement la France, le Canada, les USA, la Grande-Bretagne, l’Italie ou la Belgique).

L’interview a été conduite par le journaliste Lilo Miango (rédaction de Paris). La réalisation est le travail de Nkumu (rédaction centrale-Europe, en Suisse):